Collection Puceau - Pucelle. L’Étudiant (1/2)

« Cherche étudiant en médecine pour location chambre, téléphoner à agence qui fera suivre. »

Je viens de réussir mon bac et je rentre à la fac de Nanterre pour ma première année de médecine.
Je suis originaire de Lamotte-Beuvron dans le Loir et Cher, département cher à Michel Delpech où j’habite chez mes parents petit épicier.
Mon bac, j’ai travaillé dur pour l’avoir avec mention, mais c’est à Nanterre que j’ai pu m’inscrire en fac de médecine.
Le logement est la chose la plus difficile pour un garçon sans fortune surtout à Paris ou du moins dans sa plus proche banlieue sans avoir à faire des heures de métro synonyme d’échec, dès la première année par manque de temps pour étudier, suite aux transports.
Je suis certain que la chambre proposée pour un loyer modique surtout à Courbevoie serait une aubaine pour moi, mais je suis sûr que ma demande sera rejetée.

« Nous avons le plaisir de vous annoncer que votre demande est retenue et que vous devez joindre madame Clotilde pour prendre un premier contact. »

Madame Clotilde, je l’adore, je jette la lettre en l’air et je fais un double saut périlleux dans la cour de l’épicerie, loupant mon coup et me cassant une jambe.
Maman appelle les secours et deux heures après ils m’affublent d’un magnifique plâtre qui dans les jours suivants s’orne de graffiti en tout genre avec bien sur la célèbre bite.

• Allô, madame Clotilde, c’est Christian, vous avez accepté d’étudier ma demande pour la location d’une chambre.

Madame Clotilde souhaite me voir dans les meilleurs délais pour finaliser la location, car il semble qu’elle soit très exigeante sur de nombreux points qu’elle souhaite éclaircir avec moi.
J’évite de parler de mes béquilles et des six semaines où je dois garder mon plâtre ma fracture de la cheville étant propre et sans déplacement.
Je prends le train puis le métro, je finis à pied pour me retrouver devant un petit hôtel particulier de trois étages.



• Bonjour madame, je suis Christian, j’ai postulé pour une chambre.
• Oui, je vous attendais, mais que vous arrive-t-il ?
• Rien de grave, six semaines de plâtre à cause de vous.
• À cause de moi, comme vous y allez, je vous vois pour la première fois.

C’est notre premier contact, moi en haut du perron et elle devant sa porte, mon explication l’a fait rire et elle me fait entrer.
Quelle classe, 1m80 filiforme près de la maigreur avec des cheveux roux flamboyant, j’aurais pu tomber amoureux du haut de mes 18 ans, mais ses 62 ans sont une barrière surtout pour un puceau.

• Madame, vous avez un joli accent.
• Merci, je suis anglaise, mais je vis en France depuis mes 20 ans, votre âge environ.
• J’en ai dix-huit, pourquoi êtes-vous venue en France ?
• Au départ, je suis venue pour être mannequin pour des photos dans un catalogue par correspondance, c’est ce jour-là que j’ai rencontré mon premier mari qui était le photographe, une de ces photos remarquées par un créateur d’une grande maison de haute couture a fait de moi son égérie.
Dans ces années-là, je dois reconnaître que nous vivions une vie de bohème et assez dissolus.

En me parlant de sa jeune vie de femme elle me fait entrer dans la salle à manger où il y a de nombreuses photos.

• Tenez, voyer cette photo où je suis avec un jeune homme, elle est prise lors d’un de ses voyages, il avait vu des photos de moi et a souhaité que je sois présente à une soirée au Palais de l’Élysée.
Il s’appelle Bill et a fait une grande carrière politique dans les années suivantes, mais vous êtes trop jeune pour vous souvenir de lui,

C’est incroyable, j’étais jeune, mais je reconnais bien ce Bill qui est souvent vu en présence de sa femme aussi célèbre que lui.

• Vous parlez de vie dissolue.
Sexuellement ?
Tous ces hommes ont-ils été vos amants.
• Parlez à une dame, surtout âgée comme moi de ces amants est incorrecte, mais je vous pardonne, j’ai ouvert la porte à cette remarque en vous montrant toutes ces photos ou je suis exclusivement avec des hommes.

Je vais être franche, 90 % l’ont été, mais avec certains comme le disait l’un de vos anciens présidents, c’était « cinq minutes, douche comprise » mais la plupart des fois s’était l’homme qui était fautif.
J’ai toujours aimé les partenaires qui savaient être patients et surtout caressants, j’espère que vous ferez partie de cette catégorie d’homme et que vous saurez trouver des femmes qui auront le courage et la patience de vous apprendre votre métier d’homme.
• Vous dites que vous aimez les hommes, j’espère qu’à votre âge, il y en a encore qui vous font la cour.
• Je parle trop, quand vous aurez mon âge, vous verrez que l’on pense plus aux souvenirs qu’aux batifolages, quel homme aura encore envie d’une femme qui commence à se rider de partout, dont les seins tombent lamentablement et dont l’intimité devient toute blanche !
Mais dites-moi, voulez-vous voir la chambre où vous pourrez dormir et travailler vos cours.
• Vous me louez la chambre
• Non, mon troisième mari était chirurgien après son décès, j’ai hérité de cette maison et d’un portefeuille d’actions qui me permet de vivre jusqu’à la fin de mes jours sans aucun souci, je vous prête la chambre jusqu’à la fin de vos études.
En échange de votre présence auprès de moi, car je suis seule à Paris le fils de mon deuxième mariage avec un Américain habitant à Los Angeles.
Il est architecte et célibataire depuis son divorce, il vit avec Ange ma petite fille qui a votre âge et qui fait des études pour devenir, elle aussi médecin, c’est l’amour de ma vie, ses études sont si prenantes qu’elle est dans l’impossibilité de venir me voir.
• Vous pourriez aller la voir.
• Impossible, je suis incapable de prendre l’avion, j’ai une phobie depuis qu’un de mes voyages, c’est mal passé, nous avons failli retrouver le sol sans le vouloir, en quelques secondes.
• Je vois, elle a de la chance d’avoir une grand-mère comme vous.
• Montons, hélas, il faut faire du sport surtout vous avec vos béquilles, j’avais envie de faire poser un monte-escalier, mais j’ai renoncé pour rester jeune.

Votre chambre sera au 2ème étage, mais il vous faudra venir partager ma salle de bain au 1er car celle qui est sur votre palier est inutilisable.
Êtes-vous d’accord de donner un peu de temps à une vieille dame ?

Nous montons, en me prenant sous le bras, je sens son sein se frotter et j’en ressens un certain émoustillement, car contrairement à ce qu’elle m’en a dit tout à l’heure, il est petit et ferme.

• Comptez sûr moi, je vais vous donner de mon temps malgré les études sérieuses que j’entreprends même sans avoir vu la chambre.
Ouf, j’y suis arrivé heureusement que ce maudit plâtre me sera enlevé en septembre.

Nous entrons dans une pièce dont les volets sont fermés.
Nous passons la porte en même temps et en plus du sein, c’est sa hanche qui vient en contact de la mienne, mon corps frappé par une décharge électrique et ce qui est incroyable se produit, je laisse tomber ma béquille, nous nous retrouvons face à face et nous nous embrassons.
Je dis bien nous nous embrassons, car c’est dans un même mouvement spontané que nos bouches se trouvent sans avoir à se chercher.

Premier baiser pour moi avec une femme, baiser qui restera graver toute ma vie dans ma mémoire.
Les choses s’emballent et la lumière diffuse qui vient du palier me montre cette femme défaisant mes affaires alors que je suis pétrifié dans l’impossibilité de faire le moindre mouvement.
Heureusement, mon corps est plus autonome que mon cerveau et commande à mon sexe de bander.
À ce moment madame Clotilde devient tout simplement Clotilde, la différence d’âge étant aplanie, car nous sommes devenues deux corps qui ont l’envie l’un de l’autre avec en prime pour moi la perte de mon pucelage et l’assurance que cette femme va faire de moi un amant capable de combler le reste des femmes.
Mais, je vais trop vite, car Clotilde doit faire sauter sa robe d’intérieur seule avant que ma main s’empare d’un sein que je malaxe avec beaucoup de maladresse pinçant même le mamelon.

Nos bouches se séparent.

• Excuse-moi de t’avoir fait mal, j’espère que tu vas accepter de me prêter la chambre après mon impudence.
• Grand fou, même si notre baiser a été fusionnel, j’ai assez d’expérience vu le nombre d’amants que je t’ai avoué pour bien métriser la situation.
Tu vas venir en moi mon joli puceau et si tu es d’accord moi qui pensais que mon sexe jusqu’à la fin de ma vie n’aurait à réagir qu’à mes propres doigts, j’aurais du plaisir à initier un jeune homme comme toi.
Assez parlé, vient, il est temps que je fasse de toi un homme.
Je vois que la nature t’a pourvu d’un bel engin et me connaissant, je suis sûr qu’il va me faire jouir, quant à mes seins aucune crainte, tu peux leur faire mal, ils ont apprécié, voilà une chose que tu dois apprendre à maîtriser, la limite entre le plaisir et la douleur qui font partie de la complexité des femmes.

Un peu de difficulté pour aller jusqu’au lit et lui écarter sa culotte pour essayer de rentrer ma verge.

• Tout doux, bel amant commence à apprendre à devenir l’homme que je souhaite que tu deviennes, prend ton temps sinon dans deux minutes tout sera fini, tu auras pénétré une femme perdant ton pucelage, mais nous serons tous les deux frustrés, car tu m’auras rempli la chatte sans que je jouisse et que tu ais un plaisir intense qui monte dans ta verge.
Viens entre mes jambes et mange-moi ma mangue gonflée de jus depuis les mois où elle mûrit sans que personne ne vienne la cueillir.
• Je t’en supplie, ma bite me fait mal d’attendre, laisse-moi venir en toi, je te promets que je serais un élève fidèle à tes conseils, puisque j’aurais une chambre chez toi.
• Je te comprends, viens même si je suis frustré, tu as raison puisque tu acceptes d’être le dernier soleil de ma vie.

Elle se remet sur le dos, je viens sur elle et ma tige trouve son fourreau bavant d’envie.
Je sens mon gland la pénétrer et entrer centimètres par centimètres jusqu’au fond de son vagin avant de décharger de longs traits de spermes avec tout de même un léger frisson me parcourant le dos.
J’ai tellement voulu vivre ce moment que ma bite reste bandée en elle et que je continue à la sexer lentement de longues minutes.
Ses longues jambes d’une grande agilité viennent enserrer mes fesses me bloquant divinement en elle, c’est à ce moment que je comprends la jouissance qu’un mâle peut apporter à sa femelle quand dans un grand embrassement elle part vers les sommets de son plaisir simultanément au mien pour la deuxième fois.
Cela démarre de mes lombaires pour arriver au sommet de mon crâne l’embrasant alors que mon amante me montre qu’elle jouit ses jambes se resserrant à m’en faire mal et en poussant de divins cris…

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